Un demain avec un ciel bleu profond il m'emmenait de retour à maison. Il me trouvait en voyageant dans une voiture inconnue, avec musique qu'il ne comprenait pas ou qu'il n'écoutait pas.
Je suis resté en surveillant les nuages, en espérant que le soleil sorte et cela n'est pas passé aujourd'hui.
Pendant tout le trajet toi tu m'apparaissais relampagueante, dans des phrases, dans des images, dans mes soupirs capricieux.
À ces hauteurs n'a déjà pas sens ton nom, es devenu un rêve diurne.
Mon meilleur personnage de fiction, la sensation peu parfaite de vouloir.
ET je me suis rendu compte de cette attente ennuyeuse, dont je me fais responsable.
Je me suis senti fort, sûrement de de pouvoir lever le téléphone et cesser en des mots toute cette éloquence incontrôlable, moi sonreí avec des anxiétés de terminer avec ceci.
Je t'ai pensé surpris et jusqu'à un peu fâché, il n'est jamais suffisamment confortable de dire les choses sans filtre.
N'attendez pas la fin heureuse, toujours renegué de la rationalité mais dans le fonds l'écoutez pour ne pas exploser.
Me baissez de la voiture dépêchée pour arriver au téléphone, le prenez entre mes mains et moi tremblaient les genoux, ni même surveillez l'heure pour savoir si tu t'avais déjà levée.
L'adrénaline moi parcourait le corps, se on me les mots, ni même sage que tu allait précisement dire mais était décidé le faire.
Tu ne t'es jamais occupé du téléphone et l'ai décidé de ne pas essayer à nouveau jusqu'à la prochaine fois qu' on me se produit llamarte et decirte tout ce que dans mon tu provoques.
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